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Outre la pisciculture (production de poissons d’eau douce, d’eau saumâtre ou d’eau de mer) le présent Plan Stratégique de Développement Durable de l’Aquaculture (PSDDA) vise l’élevage d’organismes aquatiques comme le poisson, les mollusques et crustacés, ainsi que les plantes aquatiques commercialisables. Les expériences tentées dans la crevetticulture n’ayant pas été concluantes et avec un impact environnemental non négligeable, l’aquaculture en Guinée se limite pour l’instant à la pisciculture. Comme déjà indiqué, la promotion de l’indéniable potentiel qu’offre l’aquaculture constitue pour la Guinée un formidable réservoir d’emplois, un rempart en matière de lutte contre la pauvreté et un mode avéré de développement économique et social durable. À ce jour, l’aquaculture est demeurée au stade embryonnaire malgré les expériences encourageantes en cours en Guinée Forestière, en Haute Guinée et en Moyenne Guinée. Sur la base des leçons tirées des différentes interventions antérieurement réalisées sur le terrain, le développement des activités aquacoles pourrait reposer sur des approches variées (en fonction des stratégies et capacités techniques et financières des opérateurs privés) qui sont :

  • – La pisciculture intégrée en bas-fonds et en plaines de mangroves
  • – La pisciculture en mares, et petites et moyennes retenues
  • – La pisciculture en cages flottantes
  • – La pisciculture en bacs hors-sols
  • – L’aquaculture marine et en eaux saumâtres